Portrait de Doro

DORO est né en 1971 à Besançon, ville d'Art et d'Histoire. Après une formation en bijouterie et métaux précieux, puis à l'école des beaux-arts de Besançon, il entre durant 9 années au service d'un grand bijoutier de Dijon. En 1998 il s’installe à Besançon, prenant la succession d'une ancienne et grande maison de bijouterie fondée en 1933.

Remarqué en raison de sa grande maîtrise technique et artistique de la haute joaillerie et sa connaissance étendue de la gemmologie, il est distingué à plusieurs reprises.

 

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° 2005, il est primé au concours international du Tahitian Pearl Trophy parmi 6 000 autres créateurs de 36 pays différents. Je jury ne retiendra que 33 bijoux, dont celui de DORO.

 

° 2007, il présente une sculpture en or massif, argent et perles, au Tahitian Pearl Trophy. Un prix spécial du jury lui est décerné, consécration de son talent de sculpteur.

 

° 2008, il représente la France à Pékin à l'occasion des Jeux Olympiques et de l'exposition TOP, “TrésOrs de Paris”.

 

° 2010, il est sélectionné pour figurer dans l'édition 2010 du « KARA Collector's », parmi les 100 meilleurs joailliers mondiaux.

 

° 2013, sculpteur lauréat de l'ADAGP (société des Auteurs Dans les Arts Graphiques et Plastiques), il est invité à exposer au Carrousel du Louvre dans le cadre du salon annuel de la Société Nationale des Beaux Arts qui lui décerne une médaille de bronze.

 

 

2015, il réalise un trophée en or en argent massifs, prix du public, pour récompenser les oeuvres cinématographiques de Georges LAUTNER et de Rémy JULIENNE ainsi que les acteurs principaux et le réalisateur de la meilleure comédie française 2014, «Qu’est-ce qu ’on a fait au Bon Dieu ? ». Il voit également l’une ses oeuvres, La Main de l’Espoir, entrer au musée de la Résistance et de la déportation de Besançon.

Elue pour représenter une récompense d'une authenticité absolue, le jugement par le public.

Ce trophée cinématographique n'est pas comme les autres, il est en or massif.

Une démarche artistique, une quête de Doro, cherchant à représenter un absolu, au-delà même de l'être humain. C'est un symbole puissant pour ce prix du public.

 

 Il voit également l'une de ses œuvres, La Main de l'Espoir, entrer au musée de la Résistance et de la déportation de Besançon

 

Depuis il se consacre à principalement à la sculpture avec une approche qui lui est propre, l'orophanie.

 

 

Conception des sculptures

 

Chaque sculpture est un assemblage tel un puzzle dont seul Doro à la représentation finale à l'esprit. Il est constitué de centaines de "lamelles" d'or ou d'argent brasées entre-elles. En fait, DORO travaille même à partir de l'état premier des métaux précieux, leur état liquide. Lorsqu'ils sont en fusion, il extrait de cette masse liquide des formes de dimensions variables qui, en se refroidissant, se présentent fréquemment sous forme de lamelles d'aspect semblable à de "l'aluminium froissé". Sans apport complémentaire, elles sont des ensembles fusionnés. Cette opération est un exercice artistique de minute. En portant le chalumeau (961°C pour l'argent et 1064°C pour l'or) sur les points d'assemblage, les lamelles déjà assemblées ne doivent pas être endommagées, malgré parfois leur extrême proximité. L'œuvre (pour l'argent uniquement) fait ensuite l'objet d'un traitement de stabilisation de l'oxydation